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dimanche 15 mars 2015

Une écrevisse à la plage

Aujourd'hui dimanche, jour off et qui promet d'être ensoleillé, direction la plage !! Pour ne pas tomber tout de suite dans le cliché (mais également pour éviter d'être serrés comme à Copacabana et les bouchons au retour), je décide d'aller dans le nord avec ses plages sauvages de sable noir.
Départ 7h pour pouvoir se garer facilement, et une cinquantaine de kilomètres plus tard, aux environ de 8h j'arrive à l'Anse Céron.


Je suis la deuxième sur le parking et la plage est quasi déserte à cette heure (ce qui ne sera plus du tout le cas vers 16h quand j'y reviendrai).


Anse Céron

Mais l'Anse Céron n'étant pas le but de ma journée, je ne m'y attarde pas et continue à pieds sur la route escarpée et pleine de nid de poules vers l'Anse couleuvre pendant 20 bonnes minutes. Par chance, la montée n'est pas trop pénible, il ne fait pas encore trop chaud et le vent rafraîchit. Arrivée au dernier dernier parking et fin de la route, après une traversée de ruines, l'Anse couleuvre  est également déserte.



Anse couleuvre
Anse couleuvre depuis le chemin de randonnée

Direction maintenant le début du chemin de randonnée vers Grande Rivière (20 km), que je vais devoir revenir faire, pour atteindre deux autres anses, l'Anse lévrier puis l'Anse à voile. L'Anse à voile étant trop ventée à mon gout (observez plutôt comme les arbres semblent décoiffés), je reviens à l'Anse lévrier où je passerai le reste de la journée (il est 10h).

Anse à voile

Anse lévrier
Le soleil jouant à cache cache avec les nuages jusqu'à 13h environ (et y arrivant bien), j'ai presque froid en maillot de bain, et vais juste me tremper les pieds. Ces fameux nuages finissent par disparaître en début d'après midi, et là je peux enfin profiter de l'eau pour me rafraîchir ! On y rentre presque sans réfléchir et l'eau est tellement claire !
Quelques heures plus tard et malgré mes nombreux tartinages de crème solaire, je sens comme une sensation de chaleur au niveau de mes pieds, mes bras, mes cuisses, bref partout ! Je sens qu'il est comme temps de partir, d'ailleurs ma plage commence à se remplir (de seule nous sommes au moins huit), et j'ai encore un peu de marche à faire ! 
Le chemin du retour ne ressemble guère  celui de l'aller tellement il y a de voitures garées au bord de la route. L'Anse Céron si calme ce matin est bondée, quelques personnes ayant même amené leur sono.

Saint Pierre et la montagne Pelée sur la route du retour, qui méritera un article quand j'irai la visiter ;

Saint Pierre

Verdict en arrivant, pire qu'à Morro de São Paulo, je suis une écrevisse ébouillantée des oreilles aux pieds !

2 commentaires:

  1. Il va falloir quelques séances de bronzage avant de s'habituer au soleil de la Martinique!

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  2. Surtout que je n'y vais au max qu'une fois par semaine ! Je vais réinvestir dans du 50 !

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